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Le taux de chômage ces dernières années accrue de façon exponentielle et la recherche d’un travail après une démission s’avère une tâche ardente, c’est pour cela que les employés optent pour une solution qui convient aussi bien au responsable qu’à l’ouvrier, il s’agit de la rupture conventionnelle.
C’est par ailleurs une procédure qui consiste à mettre fin à un contrat liant le gérant au salarié. Elle concerne l’employé en contrat de durée indéterminée dans le secteur privé et reste le moyen de le plus fréquemment employé en raison des intérêts qu’elle prodigue aux deux parties.
Quand opter pour une rupture conventionnelle ?
Les circonstances de rupture d’un contrat et le risque de chômage font souvent obstacle au salarié en raison de son appréhension et inquiétude de ce qu’il en adviendra par la suite, c’est pourquoi il est nécessaire de bien s’informer afin de prendre la décision adéquate en sa faveur. Cette procédure est envisagée sous certaines conditions qu’il faudra strictement remplir, on retrouve :
- Le commun accord : entre les concernés dans l’affaire de façon consentantes sans aucune contrainte.
- Qu’elle se fasse dans la droiture : suivant le code du travail et des conditions loyales dans un cadre non frauduleux.
- Elle se voit dans le cas contraire être rejetée lorsqu’elle est signée dans un contexte de harcèlement moral ou incitation de l’employeur à pousser le salarié afin d’envisager cette alternative.
- Dans le cas d’une rupture collective générale : l’ensemble des ouvriers présente une rupture conventionnelle collective.
- Déclaration par un médecin de travail que l’intéressé est inapte.
- Il est à noter que la Rupture conventionnelle ne s’applique pas aux : salariés en contrat à durée déterminé, contrats temporaires, ni agents de la fonction publique.
- Elle doit être obligatoirement signée par les concernés, dans le cas contraire elle ne sera pas prise en considération.
Quels sont les bénéfices à tirer d’une rupture conventionnelle au chômage
Il est à noter que cette intervention apporte des intérêts dans les deux sens, on peut citer :
- En faveur du gérant : cette démarche semble plus allégée en raison de sa fluidité administrative, en vue d’une séparation avec un employé s’épargnant ainsi une liste de paperasse pour fournir un justificatif juridique qui s’applique à la loi de ce fait plus favorable à un licenciement.
- En faveur du salarié : en cas de réponse propice celui-ci bénéficiera d’un taux d’indemnités de rupture largement plus indulgent que ceux rencontrés lors d’une éventuelle démission, et par la suite des allocations de chômage inexistantes après une démission. Ceci lui permettra de diriger ses plans de carrière future vers un autre projet plus ambitieux .